Invité à l’émission par conviction de la chaine de télévision 2STV, l’inspecteur principal des impôts et domaines, El Hadj Mamadou Diao, a profité de son face-à-face avec le journaliste Cheikh Diaby pour donner son point de vue sur la vie économique du pays, la révocation de Sonko, la récente communication du PM sur l’affaire Pétrotim, etc.
D’emblée, M. Diao, responsable politique de l’APR à Kolda, a indiqué qu’un fonctionnaire qui fait de la politique est une activité normale. Tout de même il précise : « Dans les activités que nous menons tous les jours, c’est-à-dire les activités politiques, il faudra faire le distingo entre son travail de fonctionnaire et justement l’activité politique que nous menons ». Tout en estimant que M. Sonko, a profité de sa position d’agent des impôts pour utiliser des informations secrètes contre le pouvoir.
« Ce n’est pas parce que nous, fonctionnaire des impôts, détenons un certain nombre d’informations sur le contribuable sénégalais que nous devons les exploiter à d’autres fins. Nous devons respecter notre code de déontologie, nous devons respecter le statut qui régit les fonctionnaires, nous devons respecter les dispositions du code général des impôts» insiste M. Diao.
Le responsable politique de l’APR à Kolda n’apprécie pas aussi les pratiques de certaines personnalités de l’opposition qui, à son avis, « trompent l’opinion en jouant sur l’ignorance des concepts ». C’est le cas du concept de redressement fiscal que d’aucuns apparentent à celui de délinquance fiscale.
« Si aujourd’hui dans cette définition de délinquance fiscale que donne cette partie de l’opposition à cette question-là c’est-à-dire c’est un redressement fiscal qui en résulte, sachez que 99, 99% des entreprises de ce pays sont des délinquants fiscaux parce qu’elles ont, au moins dans leur existence, reçu toutes une fois une notification de redressement » explique l’inspecteur principal des impôts et domaine.
Sur l’affaire Pétrotim qui a conduit à une communication du PM, M. Diao s’est félicité du courage de M. Boun Abdallah Dione qui « a fait la communication qu’il fallait ». A ceux qui pensent que dans cette sortie médiatique du PM il y a des manquements le responsable de l’APR leur demande « d’apporter des éléments probants ». Selon lui, il n’y a pas d’ambigüité sur le dossier Pétrotim comme le croient certains.
« Certaines personnes sont animées par d’autres groupes qui ne se sont pas sentis intéressés dans cette affaire-là » constate-t-il.
Au plan économique, M. El Hadj Mamadou Diao affirme que l’économie est en train de dérouler ses cartes de performance et que le FMI a dressé un satisfecit pour l’Etat du Sénégal. D’ailleurs « c’est parce qu’il y a eu, l’année dernière, de bonnes performances dans le secteur agricole que le bon de croissance a été connu jusqu’à ce qu’on ait atteint 6, 4% » a-t-il souligné.
Pour lui, ce qu’il faut c’est de mettre en place un climat apaisé dans le cadre de l’environnement des affaires, dans le cadre de la vie sociale des sénégalais. « Et nous avons espoir qu’avec le pétrole et le gaz naturel nous pouvons atteindre des bons de croissance inespérés » se réjouit-il
D’emblée, M. Diao, responsable politique de l’APR à Kolda, a indiqué qu’un fonctionnaire qui fait de la politique est une activité normale. Tout de même il précise : « Dans les activités que nous menons tous les jours, c’est-à-dire les activités politiques, il faudra faire le distingo entre son travail de fonctionnaire et justement l’activité politique que nous menons ». Tout en estimant que M. Sonko, a profité de sa position d’agent des impôts pour utiliser des informations secrètes contre le pouvoir.
« Ce n’est pas parce que nous, fonctionnaire des impôts, détenons un certain nombre d’informations sur le contribuable sénégalais que nous devons les exploiter à d’autres fins. Nous devons respecter notre code de déontologie, nous devons respecter le statut qui régit les fonctionnaires, nous devons respecter les dispositions du code général des impôts» insiste M. Diao.
Le responsable politique de l’APR à Kolda n’apprécie pas aussi les pratiques de certaines personnalités de l’opposition qui, à son avis, « trompent l’opinion en jouant sur l’ignorance des concepts ». C’est le cas du concept de redressement fiscal que d’aucuns apparentent à celui de délinquance fiscale.
« Si aujourd’hui dans cette définition de délinquance fiscale que donne cette partie de l’opposition à cette question-là c’est-à-dire c’est un redressement fiscal qui en résulte, sachez que 99, 99% des entreprises de ce pays sont des délinquants fiscaux parce qu’elles ont, au moins dans leur existence, reçu toutes une fois une notification de redressement » explique l’inspecteur principal des impôts et domaine.
Sur l’affaire Pétrotim qui a conduit à une communication du PM, M. Diao s’est félicité du courage de M. Boun Abdallah Dione qui « a fait la communication qu’il fallait ». A ceux qui pensent que dans cette sortie médiatique du PM il y a des manquements le responsable de l’APR leur demande « d’apporter des éléments probants ». Selon lui, il n’y a pas d’ambigüité sur le dossier Pétrotim comme le croient certains.
« Certaines personnes sont animées par d’autres groupes qui ne se sont pas sentis intéressés dans cette affaire-là » constate-t-il.
Au plan économique, M. El Hadj Mamadou Diao affirme que l’économie est en train de dérouler ses cartes de performance et que le FMI a dressé un satisfecit pour l’Etat du Sénégal. D’ailleurs « c’est parce qu’il y a eu, l’année dernière, de bonnes performances dans le secteur agricole que le bon de croissance a été connu jusqu’à ce qu’on ait atteint 6, 4% » a-t-il souligné.
Pour lui, ce qu’il faut c’est de mettre en place un climat apaisé dans le cadre de l’environnement des affaires, dans le cadre de la vie sociale des sénégalais. « Et nous avons espoir qu’avec le pétrole et le gaz naturel nous pouvons atteindre des bons de croissance inespérés » se réjouit-il
Source: SETAL
pourquoi cet homme reste un gueulard médiatique,chaque jour mame boye se paye des émissions pour raconter des sordides dont le seul objectif c’est devenir ministre des finances ou directeur général des impôts et domaines.