Neuf ans après sa disparition, ce pionnier de l’Afro Salsa est encore « très présent » par sa musique. « Aminata, Sola, El Maestro, la Bicycletta, El Divorcio » entre autres morceaux continuent de résister au temps, selon Alassane Abdourahmane Sy, un des adeptes de la musique Salsa, établi au Fouladou. « Mêmes les jeunes générations qui n’ont pas connu ce premier disque d’or africain, s’intéressent à sa musique », a-t-il précisé. Ainsi, a-t-il repris un écrivain célèbre pour dire : « Les morts ne sont pas morts… ». Donc, « Labah Sosseh, n’est pas mort. Il est encore vivant par ses œuvres », lance un fan.
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