Le président malien a procédé à plusieurs changements importants au sein de son équipe à Koulouba, notamment en remplaçant Mohamed Alhousseini Touré par Soumeylou Boubeye Maïga au poste de secrétaire général de la présidence.
Ce n’est pas un remaniement gouvernemental, mais le but affiché est sensiblement le même, selon les proches d’Ibrahim Boubacar Keïta : « donner une nouvelle impulsion » au pouvoir exécutif à Bamako. Mercredi 31 août, le conseil des ministres a officialisé plusieurs changements importants au sein du secrétariat général et du cabinet de la présidence de la République.
Mohamed Alhousseyni Touré, discret technocrate et cadre du staff présidentiel, a été remplacé au stratégique poste de secrétaire général de la présidence par Soumeylou Boubeye Maïga, ancien ministre de la Défense d’IBK. « Le contexte sécuritaire dégradé et la reconstruction de nos forces de sécurité exigeait d’avoir un vrai sécurocrate à la présidence », explique un collaborateur d’IBK, selon lequel « Boubeye », en plus de son expertise reconnue sur les dossiers sécuritaires, a « toujours gardé de bons rapports et a toujours soutenu » le chef de l’État depuis sa démission du ministère de la Défense, en mai 2014, après la débâcle de l’armée malienne à Kidal.
Autre nomination significative à Koulouba : Boubacar Touré, chargé de mission au cabinet de la présidence depuis 2013 et figure du Rassemblement pour le Mali (RPM, le parti présidentiel), remplace le lieutenant-colonel Diarra en tant que chef de cabinet. « Il est parfaitement adapté à ce poste car c’est un homme de la maison », souffle-t-on dans l’entourage d’IBK.
Mohamed Alhousseyni Touré, discret technocrate et cadre du staff présidentiel, a été remplacé au stratégique poste de secrétaire général de la présidence par Soumeylou Boubeye Maïga, ancien ministre de la Défense d’IBK. « Le contexte sécuritaire dégradé et la reconstruction de nos forces de sécurité exigeait d’avoir un vrai sécurocrate à la présidence », explique un collaborateur d’IBK, selon lequel « Boubeye », en plus de son expertise reconnue sur les dossiers sécuritaires, a « toujours gardé de bons rapports et a toujours soutenu » le chef de l’État depuis sa démission du ministère de la Défense, en mai 2014, après la débâcle de l’armée malienne à Kidal.
Autre nomination significative à Koulouba : Boubacar Touré, chargé de mission au cabinet de la présidence depuis 2013 et figure du Rassemblement pour le Mali (RPM, le parti présidentiel), remplace le lieutenant-colonel Diarra en tant que chef de cabinet. « Il est parfaitement adapté à ce poste car c’est un homme de la maison », souffle-t-on dans l’entourage d’IBK.
(Jeune Afrique)