La situation n’était pas encore tout à fait rétablie vendredi matin, puisque plusieurs tirs d’armes légères ont de nouveau été entendus. Ils ont créé la panique au sein d’une manifestation de 500 personnes, en majorité des jeunes, venus réclamer le départ de l’actuel président Michel Djotodia, ex-leader de la rébellion Séléka. Furieux, des manifestants s’en sont pris à coups de pierres à un camion qui passait là avec des passagers musulmans.
Le calme est revenu avec l’arrivée de renforts français et la dispersion de la foule. Mais peu après, des tirs d’origine indéterminée pouvaient être entendus dans un autre quartier du secteur, à Gobongo.
Source: http://www.gfm.sn