Après la répression de la mutinerie dans le camp militaire de Kati, fief des bérets verts à l’origine du coup d’Etat de mars 2012, Amnesty international a dénonce des exécutions sommaires de soldats. L’ONG parle de purge au sein de l’armée. Les autorités maliennes répondent que des enquêtes sont en cours pour traduire en justice les personnes impliquées dans les violences.
Entrée du camp militaire de Kati, près de Bamako, Mali, le 3 octobre 2013. AFP PHOTO/HABIBOU KOUYATE
Source: Rfi