La situation était moins tendue hier soir, mardi 1er octobre, dans le camp militaire de Kati. Mais aucune solution n’avait encore été trouvée pour les jeunes militaires mécontents qui réclament notamment des grades et une amélioration des conditions de vie et de travail. Lundi, des tirs avaient éclaté, un officier supérieur avait été blessé et retenu en otage.
Des soldats de la junte patrouillent à Kati, en 2012. REUTERS/Luc Gnago
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Via Rfi