Au cours d’une conférence à Stockholm, samedi 21 septembre, le chef de l’administration présidentielle russe a déclaré que son pays serait prêt à revoir son soutien à Assad s’il venait à apprendre que le leader syrien n’avait pas été honnête en établissant l’inventaire de son arsenal chimique.
Le président syrien Bachar el-Assad. REUTERS/Zohra Bensemra