Au Burkina Faso, c’est la fin des concertations entre le président Blaise Compaoré et les représentants religieux et chefs coutumiers autour de la mise en place de la deuxième chambre du pays, le Sénat. Les coutumiers ne s’y opposent pas, mais à une seule condition, que l’on tienne compte du point de vue des partis de l’opposition. Une opposition politique qui rejette cette institution.
Blaise Compaoré, le président du Burkina Faso. Reuters
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