Malgré les mesures de fermeture du marché pendant les deux tiers de l’année, soit 8 sur 12 mois, pour aider les producteurs à écouler leurs productions, du chemin reste à être fait, pour garantir l’autosuffisance. Pendant les 4 mois d’ouverture du marché étranger, 132 000 tonnes d’oignon sont achetés de l’étranger. Ce qui a un coût énorme. Et les solutions à ce problème sont de portée soutient Dr Macoumba DIOUF. « Si on absorbe ce gap en reconstituant le capital semencier, en étalant la production sur le reste de l’année, en ayant des installations qui peuvent permettre de conserver l’oignon sans qu’il ne se gâte pendant deux ou trois mois, on règle le problème de l’importation de l’oignon».
Avec Setal.net,