Depuis, la fermeture de la frontière sénégalo-guinéenne (Conakry) entraînant aussi celle des marchés hebdomadaires à cause de la maladie à virus Ebola, le mouton devient rare et cher.
C’est le moins que l’on puisse dire, trouver un mouton pour la tabaski est devenu un calvaire pour les populations du Fouladou (sud) puisque les quelques béliers sur place sont très chers dans les différents points de vente.
En ce sens, les prix sont élevés renchérit M. Sow vendeur-éleveur » la fermeture de la frontière à cause de la maladie Ebola empêche aux autres d’amener leurs moutons au Sénégal et c’est cette situation qui risque de priver à certains le mouton.
D’après, monsieur A. Diallo enseignant de son état » nous sommes incertains aujourd’hui, de dire que nous allons fêter la tabaski dans les règles de l’art (avec mouton) et surtout à cause de la fermeture des marchés hebdomadaires où l’on pouvait trouver facilement un mouton à bon prix.
En tout cas, les populations du fouladou sont dans une incertitude de fêter la tabaski avec un mouton par ce qu’Ebola est passé par là.
AMADOU MAHMOUD DIALLO/KOLDA
Mahmuud30@hotmail.com
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