Elon Musk, aux côtés de Donald Trump, a défendu des coupes budgétaires pour éviter la « faillite » des États-Unis. Mais c’est son fils X qui vole la vedette en multipliant les espiègleries dans le Bureau ovale, déclenchant un flot de réactions en ligne.
L’image d’Elon Musk dans le Bureau ovale, aux côtés du président Donald Trump fait beaucoup réagir, mais pour une raison particulière. Son fils, nommé X Æ A-Xii, surnommé X, était présent lors de cette conférence de presse.
L’enfant a été filmé faisant des grimaces, se suspendant aux jambes et aux épaules de son père Elon Musk. Certains médias affirment même qu’il a essuyé son nez sur le bureau de Donald Trump.

Si nous ne faisons pas quelque chose sur ce déficit, le pays ira vers la faillite
Le milliardaire Elon Musk, nommé par Donald Trump à la tête d’une commission à l’efficacité gouvernementale, a défendu son action mardi depuis la Maison Blanche en affirmant que sans coupes budgétaires, les Etats-Unis allaient vers la « faillite« .
« Nous avons un déficit de 2.000 milliards de dollars et si nous ne faisons pas quelque chose sur ce déficit, le pays ira vers la faillite« , a déclaré Elon Musk, dans une intervention aux côtés du président républicain, dans le Bureau ovale.
Nommé par le chef de l’Etat à la tête d’un « Department of government efficiency » (DOGE), Elon Musk, entouré de vingtenaires dévoués, bouleverse depuis quelques semaines l’appareil fédéral au nom d’un meilleur usage des deniers publics.
Ses équipes ont notamment eu accès au très sensible système de paiements du ministère américain des Finances, avant qu’un juge fédéral leur suspende cet accès samedi.
L’opposition démocrate dénonce les actes entrepris par le patron de Tesla et SpaceX, également propriétaire du réseau social X, qu’ils jugent illégaux car ce dernier ne dispose d’aucun mandat électoral ou de portefeuille gouvernemental pour cette mission.
Après avoir ordonné le gel de milliards de dollars de subventions, le gouvernement de Donald Trump a aussi ordonné le gel des embauches dans la fonction publique, et proposé aux fonctionnaires fédéraux qui le souhaitent de démissionner en échange d’une indemnité.
Dans un décret signé mardi, le président Trump précise qu’il souhaite un ratio d’une embauche pour quatre départs dans chaque ministère, à l’exception toutefois de tout ce qui a trait au maintien de l’ordre, dans le but de réduire la taille du gouvernement américain.
Par ailleurs, le décret confère de facto à la commission pour l’efficacité gouvernementale, et donc à Elon Musk, un droit de veto sur ces embauches en soulignant qu’elles devront se faire « en consultation » avec elle.