L’attentat raté en 2022 contre la vice-présidente argentine de l’époque Cristina Kirchner était « un acte de justice », pour « le bien social », visant une personne « corrompue, qui vole et nuit à la société », a lancé mercredi le principal accusé, au premier jour du procès.
C’était « un acte de justice et non un acte dans lequel j’ai essayé de tirer un profit financier », a affirmé Fernando Sabag Montiel, rejetant l’hypothèse selon laquelle il aurait été mandaté ou financé, et ne manifestant aucun remord.