Elle est l’une graffeuses qui a réussi à percer dans le street art, milieu encore très masculin. De Moscou à Berlin, et surtout à Paris, Lady K tague les murs avec chic, et considère ses empreintes comme un acte d’émancipation. Ses dernières interventions consistent à "réparer" les slogans contre les féminicides que certains passant arrachent par ce qu’ils ne veulent pas voir cette réalité glaçante s’afficher dans l’espace public : l’an dernier en France, 146 femmes ont été tuées par leur conjoint ou ex-conjoint.
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